Quand un meurtre devient un « féminicide » !

Le meurtre d’Alexia Daval ne peut certes pas être décrit comme un simple « accident ».

Cela n’en devient pas pour autant un acte sexiste que l’on peut utiliser à des fins politique pour raviver la guerre des sexes.

Jonathann Daval a avoué avoir tué sa femme, « un feminisisme » le terme a resurgi, dans les propos de la secrétaire d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa.

Jonathan et Alexia Daval

La mort d’Alexia Daval n’est pas un « accident » ni le « meurtre d’une joggeuse » mais un féminicide.

« Joggeuse » terme très réducteur et blessant qui devrait scandaliser voir offenser nombre de lecteurs.

Aujourd’hui c’est le corporatisme de genre qui fait recette. Oui à l’égalité des sexes un « homicide » quand un homme est tué, un « féminicide » quand il s’agit d’une femme. Quand c’est les deux, je vous laisse trancher.

Si on change le sens de « féminicide » pour le définir comme le meurtre d’une femme parce qu’elle est une femme. En 2016 de 123 femmes et 34 hommes ont été tuées par leur conjoint en France c’est en grande majorité des problèmes de couple, d’incompatibilité, qui les ont conduit à l’irréparable et non par le simple fait qu’elles aient été des femmes. On ne peut nier que des cas existent.

Si on considère qu’un meurtre ne peut-être un accident, qu’une dispute ne peut pas mal tourner à ce point, qu’une femme ne peut être tuée par « jalousie », suite à un « chagrin d’amour », ou un « coup de folie », que le « crime passionnel » n’existe pas.

Alors, croyez vous encore à l’humanité du genre humain ?

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