La guerre est un produit marketing que les médias du monde entier s’arrachent : Yémen, Libye, Syrie, Afghanistan, Turquie, Birmanie…
Chaque conflit amène son lot de tragédies relayé par les ONG qui veulent attirer l‘attention et notre compassion sur un point du globe.
Ces communiqués toujours plus alarmistes les uns que les autres, mettant en exergue le nombre d’enfants et de femmes parmi les victimes comme si les hommes eux avait un poids moindre. Ces nouvelles ne sont pas sans arrière-pensées, en espérant et sollicitant notre générosité. Bien entendu c’est vers l’association qui lance le « cri d’alarme » que ces marketeurs de l’ignoble espèrent voir s’orienter les dons.
La cause Palestinienne devient elle aussi un produit marketing à tel point qu’il est difficile en France de faire la part des choses. La gauche et les médias sont profondément pro palestiniens au risque d’en perdre toute objectivité.
Ahed Tamimi, une Palestinienne de 16 ans ayant frappé des soldats, a été inculpée. Son père ne cache pas qu’il l’utilise et ce, depuis sa tendre enfance, comme un moyen de propagande quitte à en faire une martyre de la cause palestinienne. Teint clair, blonde aux yeux bleu, pas de voile, l’image idéale pour que la jeunesse occidentale puisse s’identifier aux palestiniens.
Média et réseaux sociaux ont relayé les images.
Les Palestiniens ont bien compris que la bataille se jouait là, sur les réseaux sociaux à coup de désinformation. Dès lors on est en droit de douter. La politique d’Israël est difficilement défendable. La confrontation et le conflit Israélo-Palestinien sont inextricables. On est en droit de douter des chiffres sur le nombre de morts et de blessés