Jean-Luc Mélanchon a réussi à interrompre la perquisition dans les locaux de La France Insoumise, mais à quel prix !
Un comportement honteux, indigne d’un élu de la république. On est en droit de se demander quel inavouable secret voulait préserver Jean-Luc Mélanchon pour en venir à de telles extrémités et se discréditer auprès de l’opinion publique ?
Le tribun s’est mué en trublion séditieux, mettant en exergue son narcissisme jupitérien : « Je suis un parlementaire. La République, c’est moi ! Ma personne est sacrée… ». L’Intellectuel comme il aime à se définir, agitateur jusqu’au-boutiste, ne saurait occulter que la république c’est « nous ».
Une opération de « police politique » ! Doit-on rappeler que des poursuites sont engagées pour les mêmes raisons d’emploi présumé fictif d’assistants parlementaires européens à l’encontre du Rassemblement National (ex-FN) de Marine Le Pen et du MoDem de François Bayrou, allié du gouvernement.
Il pointe un doigt vengeur, hurle, invective, aboie, vocifère, contre un policier jusqu’à se placer à une lèvre de sa bouche, bouscule un procureur. Comment cet être hystérique brailleur, colérique et violent peut-il prétendre être notre image et notre représentant ? De quel droit peut-il bousculer la police et la justice, fondements de la république qu’il est sensé défendre et représenter ? Cette police et cette justice présentes uniquement pour vérifier qu’il reste bien dans cette ligne vertueuse qu’il revendique, cette droite ligne de la république dont il se réclame.
Ses excès de colère, de haine, son irritabilité latente ne collent pas avec les fonctions auxquelles il prétend !
Monsieur Mélanchon se situerait au-dessus des autres pour qu’on ne puisse contrôler ses activités. Comme chaque parlementaire que nous avons élu pour nous représenter Monsieur Mélanchon à des droits, mais aussi des devoirs, comme celui de nous respecter, nous, simples citoyens, nous, qui nous serions retrouvés en geôle pour moins que ça !
Jean Luc Mélanchon se retrouve dans la même charrette que François Fillon ou Marine Le Pen qu’il dénonçait il y a quelques mois comme étant le reflet de la décadence de la république. La moralité et l’exemplarité que nous réclamons va au-delà des lois comme l’a démontré la parenthèse « François Fillon » aux élections présidentielles.
A bon entendeur Salut.